La mairie de Vitrac sur Montane ne délivre pas les cartes d’identité (CNI) et les passeports.
En Corrèze, 10 communes sont équipées de dispositif de recueil des empreintes et de stations biométriques : Ussel, Egletons, Tulle, Uzerche, Argentat, Treignac, Brive, Beaulieu, Objat et Malemort.
Les usagers devront donc faire leur demande de CNI et de passeport dans n’importe quelle commune équipée d’un tel dispositif. Il est nécessaire de leur téléphoner pour prendre les renseignements et rendez-vous au préalable.
Une pré-demande en ligne est possible sur le site internet service-public.fr
Mariages et PACS :
Les mariages et PACS sont enregistrés à la mairie par l’officier d’état civil. Les futurs époux ou pacsés doivent se renseigner 3 mois avant auprès de la mairie pour constituer le dossier avec les documents utiles. Pour tout renseignement, vous pouvez contacter la mairie par tout moyen à votre convenance.
Décès :
Suite à la déclaration médicale du médecin, le décès doit être déclaré à la mairie du domicile du défunt par un proche ou un agent des pompes funèbres.
Demandes d’actes:
Les demandes d’actes d’état civil (naissances, mariages, décès) devront être obligatoirement formulées par écrit (courrier papier ou électronique) avec photocopie de la carte d’identité.
Demande d’acte d’état civil:
La Préfecture ne reçoit plus aucune demande liée à la carte grise, désormais appelée certificat d’immatriculation.
Les demandes de certificat d’immatriculation peuvent se faire de 2 façons :
la solution payante (si vous n’avez pas accès à internet) : chez un garagiste agréé par la Préfecture au Système d’Immatriculation des Véhicules. Cliquez ici
La Préfecture ne reçoit plus aucune demande liée à la carte grise, désormais appelée certificat d’immatriculation.
Les demandes de certificat d’immatriculation peuvent se faire de 2 façons :
la solution payante (si vous n’avez pas accès à internet) : chez un garagiste agréé par la Préfecture au Système d’Immatriculation des Véhicules. Cliquez ici
La Préfecture ne reçoit plus aucune demande liée à la carte grise, désormais appelée certificat d’immatriculation.
Les demandes de certificat d’immatriculation peuvent se faire de 2 façons :
la solution payante (si vous n’avez pas accès à internet) : chez un garagiste agréé par la Préfecture au Système d’Immatriculation des Véhicules. Cliquez ici
Carte grise – certificat d’immatriculation : Lors de l’achat ou de la vente d’un véhicule ainsi qu’en cas d’emménagement dans la commune, les démarches pour la carte grise peuvent s’effectuer sur le site officiel gouvernemental : https://immatriculation.ants.gouv.fr. Il existe d’autres sites frauduleux, dont l’apparence donne l’impression d’avoir à faire à un site gouvernemental, qui proposent les démarches pour le certificat d’immatriculation pour un coût supérieur. Si vous pensez avoir été victime d’un litige de la part d’un site internet ou d’un garagiste, par exemple lors de la recharge de votre voiture pour la climatisation ou la réparation d’un autre problème comme la courroie de distribution, plus d’information sur ce guide, vous pouvez le signaler sur le site https://signal.conso.gouv.fr. Pour votre certificat d’immatriculation, si vous éprouvez des difficultés à effectuer votre demande sur le site officiel, vous pouvez vous tourner vers un garagiste agréé par la préfecture qui vous aidera pour vos démarches (Carte grise, démarches automobiles… ). Consultez la vidéo de l’ANTS pour vous guider pour les démarches pour refaire votre carte grise.
Pour participer aux élections politiques, il faut être inscrit sur les listes électorales. L’inscription est automatique pour les jeunes de 18 ans. Si vous vous trouvez dans une autre situation (déménagement, première inscription…) vous devez prendre l’initiative de la demande.
Inscription sur les listes électorales:
Inscription d’office à 18 ans
Nouvelle inscription
Déménagement
Citoyen européen
Carte électorale
Opérations de vote:
Déroulement du scrutin
Vote d’un Français de l’étranger
Vote par procuration
Élections et référendums:
Européennes
Présidentielle
Législatives
Régionales et départementales
Municipales
Référendum
Tout Français doit spontanément se faire recenser auprès de sa mairie (ou du consulat s’il habite à l’étranger). Cette formalité est obligatoire pour pouvoir se présenter aux concours et examens publics.
Qui est concerné ?
Tous les jeunes Français ayant atteint l’âge de 16 ans, les filles comme les garçons.
Comment se faire recenser ?
Si le jeune est mineur, il peut faire la démarche seul ou se faire représenter par l’un de ses parents.
Si le jeune est majeur, il doit faire la démarche seul.
Où se faire recenser ?
à la mairie du domicile, si le jeune habite en France,
au consulat ou à l’ambassade de France, si le jeune réside à l’étranger.
Que faut-il déclarer ?
Lors du recensement, il convient de faire une déclaration sur laquelle sont indiquées les informations suivantes :
votre nom (nom de famille et éventuellement nom d’usage), vos prénoms, votre date et lieu de naissance, ainsi que les mêmes éléments concernant vos parents,
votre adresse,
votre situation familiale, scolaire, universitaire ou professionnelle.
Quelles pièces fournir ?
une pièce d’identité (carte nationale d’identité, passeport ou tout autre document justifiant de la nationalité française)
un livret de famille
Il n’est pas nécessaire de fournir un justificatif de domicile.
Si le jeune est atteint d’un handicap ou d’une maladie invalidante, et qu’il souhaite être dispensé de la journée défense et citoyenneté , il doit présenter sa carte d’invalidité ou certificat médical délivré par un médecin agréé auprès du ministre de la défense.
Quand se faire recenser ?
Les jeunes Français de naissance doivent se faire recenser entre le jour de leurs 16 ans et le dernier jour du 3ème mois qui suit celui de l’anniversaire.
Les jeunes devenus Français entre 16 et 25 ans doivent se faire recenser dans le mois qui suit la date d’acquisition de la nationalité française.
Les jeunes qui auraient pu répudier ou décliner la nationalité française, mais qui ne l’ont pas fait, doivent se faire recenser dans le mois qui suit leurs 19 ans.
Régularisation
Si les délais ont été dépassés, il est toutefois possible de régulariser sa situation jusqu’à l’âge de 25 ans en procédant de la même manière que pour un recensement classique.
Quels sont les effets du recensement ?
À la suite du recensement, la mairie délivre une attestation de recensement. Cette attestation est notamment nécessaire pour se présenter aux examens et concours publics (dont le permis de conduire) avant l’âge de 25 ans.
La mairie ne délivre pas de duplicata. Cette attestation doit donc être conservée soigneusement.
En cas de perte ou de vol, il est toutefois possible de demander un justificatif de recensement au centre du service national dont vous dépendez.
Suite du recensement
Le recensement permet à l’administration de convoquer le jeune pour qu’il effectue la journée défense et citoyenneté.
Après le recensement, il est donc nécessaire d’informer les autorités militaires de tout changement de situation.
Le recensement permet également l’ inscription d’office du jeune sur les listes électorales à ses 18 ans, ainsi que son invitation à une cérémonie de citoyenneté (si la mairie en organise).
Défaut de recensement
En cas d’absence de recensement dans les délais, vous êtes en irrégularité.
Vous serez sanctionné par le fait .
de ne pas pouvoir participer à la journée défense et citoyenneté,
de ne pas être inscrit sur les listes électorales à 18 ans,
de ne pouvoir passer aucun concours ou examen d’État (baccalauréat ou permis de conduire par exemple) avant l’âge de 25 ans.
Vérifié le 03 May 2022 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)
Vous êtes fonctionnaire stagiaire ou titulaire ou contractuel ? Des dispositifs de prise en charge partielle, par les administrations employeurs, de vos cotisations à une complémentaire santé (mutuelle) sont progressivement mise en place dans la fonction publique.
Fonction publique d'État (FPE)
Territoriale (FPT)
Hospitalière (FPH)
Vidéo : ce qu'il faut savoir
Depuis le 1er janvier 2022, votre administration employeur vous rembourse une partie de vos cotisations à votre complémentaire santé (mutuelle).
Vous pouvez bénéficier de ce remboursement forfaitaire si vous cotisez à une mutuelle qui couvre les frais médicaux, occasionnés par une maladie, une maternité ou un accident (risque santé).
Ce remboursement forfaitaire ne concerne pas vos éventuelles cotisations destinées à couvrir les risques d'incapacité de travail, d'invalidité, d'inaptitude ou de décès (prévoyance).
Si votre administration a souscrit un contrat collectif qui est en cours au 1er janvier 2022, ce nouveau dispositif de remboursement forfaitaire de vos cotisations mutuelle ne s'applique qu'à la fin de ce contrat.
Qui peut bénéficier de ce remboursement forfaitaire ?
Vous pouvez bénéficier de ce remboursement de 15 € par mois que vous soyez fonctionnaire (stagiaire ou titulaire) ou contractuel.
Vous pouvez bénéficier de ce remboursement si vous êtes dans l'une des positions ou situations suivantes :
Activité
Détachement ou congé de mobilité
Congé parental
Disponibilité pour raison de santé ou congé non rémunéré pour raison de santé
Congé de proche aidant ou congé de présence parentale ou congé de solidarité familiale
Situation ou congé de toute nature donnant lieu au versement d'une rémunération ou d'un traitement
Le versement est maintenu jusqu'à la fin du mois au cours duquel vous cessez d'être dans l'une de ces positions ou situations.
Lorsque vous reprenez vos fonctions au cours d'un mois, le versement est effectué pour le mois entier.
Si vous entrez en fonction ou changez d'employeur au cours d'un mois, le remboursement est versé par le nouvel employeur pour le mois entier.
Vous devez signaler tout changement de situation pouvant modifier vos droits au remboursement.
Votre administration peut effectuer un contrôle de votre situation à tout moment.
Comment faire la demande ?
Vous devez adresser une demande à votre administration employeur.
Vous pouvez pour cela utiliser ce modèle de demande.
Modèle de document Modèle de demande de remboursement forfaitaire des cotisations de protection sociale complémentaire en santé
Vous devez joindre à votre demande une attestation de votre organisme de protection complémentaire.
Cette attestation précise si vous êtes bénéficiaire individuel ou ayant droit d'un contrat de protection sociale complémentaire responsable et solidaire destiné à couvrir les frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident.
Si vous êtes ayant droit d'un contrat collectif conclu par un employeur autre que l’État, l'attestation indique que vous ne bénéficiez pas déjà d'une prise en charge de cet employeur.
À partir du 1er janvier 2025, les administrations d’État devront avoir souscrit des contrats collectifs de complémentaire santé pour couvrir les frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident (risque santé).
L'adhésion à ces contrats collectifs sera obligatoire sauf en cas de situation particulière.
Les administrations employeurs prendront en charge 50 % du montant des cotisations des agents.
À savoir
Des négociations sont en cours concernant la prévoyance.
À qui s'appliquera l'obligation d'adhésion ?
Si vous êtes employé et rémunéré par une administration de l’État, vous devez adhérer au contrat collectif souscrit par votre administration employeur si vous êtes fonctionnaire ou contractuel.
Aucune condition d'âge n'est exigée.
Vous continuerez à bénéficier du contrat collectif pendant les congés non rémunérés suivants :
Congé parental
Disponibilité pour raison de santé ou congé non rémunéré pour raison de santé
Congé de maternité
Congé d'adoption
Congé parental
Congé de présence parentale
Congé de paternité et d'accueil de l'enfant
Congé de proche aidant
Congé de solidarité familiale
Congé de formation professionnelle
Vous êtes dispensé de l'obligation d'adhérer au contrat collectif souscrit par votre administration employeur dans les cas suivants :
Vous bénéficiez de la complémentaire santé solidaire (C2S – ex CMU-C). Cette dispense est possible jusqu'à la date à laquelle vous cessez de bénéficier de la C2S.
Vous êtes couvert par un contrat individuel pour la couverture des frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident, à la date d'entrée en vigueur du 1er contrat collectif souscrit par votre administration employeur ou à la date de votre recrutement, si elle est postérieure. Cette dispense est possible jusqu'à la date d'échéance de votre contrat individuel, dans la limite de 12 mois.
Vous êtes recruté en CDD et vous bénéficiez d'une couverture individuelle des frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident
Vous êtes couvert, pour les frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident, y compris en tant qu'ayant droit, par une complémentaire santé d'entreprise ou par une complémentaire santé individuelle souscrite en tant qu'intérimaire ou par le régime complémentaire d'assurance maladie des industries électriques et gazières ou par une complémentaire santé collective territoriale ou hospitalière.
Vous pourrez à tout moment renoncer à votre dispense et demander à adhérer au contrat collectif de votre administration sans aucune majoration de cotisation.
Quels seront les autres bénéficiaires possibles ?
Si vous êtes nouvellement retraité, vous pouvez demander à adhérer au contrat collectif souscrit par votre dernière administration employeur si vous remplissez les 2 conditions suivantes :
Vous êtes employé et rémunéré par votre administration au moment de votre départ en retraite ou vous bénéficiez de l'un des congés non rémunérés au cours desquels le bénéfice du contrat collectif est conservé (congé parental, disponibilité pour raison de santé ou congé non rémunéré pour raison de santé, congé de maternité ou d'adoption, congé parental, congé de présence parentale, congé de paternité et d'accueil de l'enfant, congé de proche aidant, congé de solidarité familiale, congé de formation professionnelle)
Vous percevez une retraite du service des retraites de l’État ou de l'Ircantec
Vous devez demander votre adhésion dans l'année suivant votre départ en retraite.
Si vous êtes à la retraite à la date de souscription par votre dernière administration employeur de son 1er contrat collectif pour les bénéficiaires retraités, vous pouvez demander à adhérer à ce contrat si vous auriez rempli les conditions exigées pour adhérer au contrat collectif en tant que retraité si ce contrat avait été souscrit à la date de votre mise à la retraite.
Vous devez demander votre adhésion dans l'année suivant la date à laquelle vous êtes informé de l'entrée en vigueur du contrat collectif et de la possibilité d'y adhérer.
Si vous vivez en couple avec un bénéficiaire actif ou un bénéficiaire retraité, vous pouvez demander à adhérer, en tant qu'ayant droit, au contrat collectif de son administration employeur ou de sa dernière administration employeur.
Aucune condition d'âge n'est exigée.
Vous pouvez aussi demander à adhérer à tout moment, en tant qu'ayant droit, au contrat collectif de l'administration employeur ou de la dernière administration employeur d'un bénéficiaire actif ou d'un bénéficiaire retraité si vous remplissez les 3 conditions suivantes :
Vous êtes l'enfant ou le petit-enfant d'un bénéficiaire actif ou d'un bénéficiaire retraité
Vous ne bénéficiez pas d'une autre protection sociale complémentaire
Vous êtes âgé de moins de 21 ans
L'époux(se) survivant(e) ou l'enfant orphelin d'un bénéficiaire actif ou retraité décédé qui perçoit une pension de réversion ou d'orphelin, peut demander à adhérer au contrat collectif de l'administration employeur ou de la dernière administration employeur du bénéficiaire actif ou retraité décédé.
La demande d'adhésion doit être faite dans l'année suivant le décès.
L'époux(se) qui perçoit une pension de réversion au titre d'un ancien agent retraité de l’État à la date d'entrée en vigueur du 1er contrat collectif conclu par la dernière administration employeur de son conjoint décédé peut demander à adhérer à ce contrat.
La demande d'adhésion doit être faite dans l'année suivant la date à laquelle elle est informée de la possibilité d'y adhérer.
Quelles seront les garanties minimum du contrat collectif ?
Le contrat collectif de complémentaire santé prend au minimum en charge les garanties suivantes :
Intégralité du ticket modérateur sur les consultations, actes et prestations remboursables par l'assurance maladie, sous réserve de certaines exceptions
Frais dentaires (prothèses et orthodontie) à hauteur de 125 % du tarif conventionnel
Frais d'optique de manière forfaitaire par période de 2 ans (annuellement pour les enfants ou en cas d'évolution de la vue) avec un minimum de prise en charge fixé à 100 € pour une correction simple, 150 € (voire 200 €) pour une correction complexe
Le contrat collectif peut prévoir des garanties complémentaires ou supplémentaires aux garanties minimum et/ou des garanties optionnelles.
Elles doivent s'appliquer de manière identique aux différentes catégories de bénéficiaires (actifs, retraités, ayants droit).
Vos cotisations ne varient pas en fonction de votre état de santé.
Vos cotisations en tant qu'actif et celles de vos ayants droit ne varient pas en fonction de l'âge.
Vos cotisations en tant que retraité et celles de vos ayants droit peuvent évoluer en fonction de votre âge.
Votre collectivité employeur doit participer au financement de votre complémentaire santé (mutuelle).
Cette participation peut consister en une prise en charge partielle de vos cotisations à une mutuelle à laquelle vous avez individuellement souscrit.
Elle peut aussi consister en un contrat collectif proposé par votre collectivité et auquel vous devez adhérer.
Pour que la participation soit possible, votre organisme de mutuelle doit garantir la mise en œuvre de dispositifs de solidarité entre actifs et retraités et être pour cela labellisé.
La participation de votre collectivité concerne la couverture par une mutuelle des frais médicaux occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident (risque santé).
Elle concerne aussi la couverture des frais occasionnés par les risques d'incapacité de travail, d'invalidité, d'inaptitude ou de décès prévoyance (prévoyance).
À savoir
Si un contrat collectif vous est proposé, il peut s'agir d'une mutuelle choisie par votre collectivité ou d'une mutuelle choisie par le centre de gestion et à laquelle votre collectivité a adhéré. Si votre collectivité employeur décide d'adhérer à un contrat collectif souscrit par le centre de gestion, elle peut adhérer pour un ou plusieurs des risques couverts par le contrat collectif.
Vous pouvez bénéficier de la participation au financement de votre mutuelle que vous soyez fonctionnaire ou contractuel.
Jusqu'à présent, les collectivités locales pouvaient déjà contribuer au financement des complémentaires santé auxquelles leurs agents avaient individuellement souscrit ou souscrire des contrats collectifs.
La mise en œuvre de ces dispositifs était facultative.
Désormais elle devient obligatoire.
La contribution de votre collectivité doit vous permettre de bénéficier des garanties minimales suivantes à partir du 1er janvier 2025 concernant la prévoyance et à partir du 1er janvier 2026 concernant le risque santé.
À partir du 1er janvier 2025, votre collectivité employeur participera au financement de votre complémentaire santé couvrant les frais occasionnés par les risques d'incapacité de travail, d'invalidité, d'inaptitude ou de décès prévoyance (prévoyance).
Le montant de cette participation est au minimum de 7 € par mois.
Votre collectivité peut accorder une participation supérieure.
Si vous relevez de la CNRACL, votre collectivité vous verse des indemnités journalières complémentaires à votre demi-traitement dans les cas suivants :
Congé de maladie (ordinaire, de longue maladie ou de longue durée) à demi-traitement
Mise en disponibilité d'office ou maintien du demi-traitement dans l'attente de l'avis du conseil médical
C'est le cas si vous êtes fonctionnaire à temps complet ou fonctionnaire à temps complet exerçant au moins 28 heures par semaine (au moins 12 heures si vous appartenez au cadre d'emplois des professeurs d'enseignement artistique et au moins 15 heures si vous appartenez au cadre d'emplois des assistants d'enseignement artistique).
Ces indemnités journalières complémentaires ont pour but de vous garantir une rémunération nette équivalente à 90 % de votre traitement indiciaire et de la nouvelle bonification indiciaire et 40 % de vos primes et indemnités.
En cas de mise en retraite pour invalidité avant 62 ans, votre collectivité employeur vous verse une rente garantissant une rémunération équivalente à 90 % de votre traitement net.
Le montant de cette rente est réévalué au 1er juillet de chaque année en fonction de l'évolution de l'indice majoré 100 constatée au cours des 12 derniers mois et selon le taux défini par la mutuelle.
Si vous relevez du régime général de la Sécurité sociale, votre collectivité vous verse des indemnités journalières complémentaires à votre demi-traitement et aux indemnités journalières de la Sécurité sociale.
C'est le cas si vous êtes contractuel ou fonctionnaire à temps complet exerçant moins 28 heures par semaine (moins de 12 heures si vous appartenez au cadre d'emplois des professeurs d'enseignement artistique et moins de 15 heures si vous appartenez au cadre d'emplois des assistants d'enseignement artistique).
Votre collectivité vous verse des indemnités journalières complémentaires dans les cas suivants :
Congé de maladie ou de grave maladie à demi-traitement
Mise en disponibilité d'office (si vous êtes fonctionnaire à temps non complet) ou maintien du demi-traitement dans l'attente de l'avis du conseil médical
Ces indemnités journalières complémentaires ont pour but de vous garantir une rémunération nette équivalente à 90 % de votre traitement indiciaire (et de la nouvelle bonification indiciaire si vous êtes fonctionnaire à temps complet) et 40 % de vos primes et indemnités.
Si vous êtes contractuel, votre collectivité vous verse aussi des indemnités journalières complémentaires avant l'attribution d'un temps partiel pour motif thérapeutique.
Ces indemnités journalières complémentaires ont pour but de vous garantir une rémunération nette équivalente à 90 % de votre traitement indiciaire.
En cas d'invalidité avant 62 ans, votre collectivité employeur vous verse une rente garantissant une rémunération équivalente à 90 % de votre traitement net si vous remplissez l'une des 2 conditions suivantes :
Votre capacité de travail ou de revenus est réduite d'au moins ²/₃
Vous êtes atteint d'un taux d'incapacité au moins égal à 66 % en cas de maladie professionnelle ou d'accident du travail
Le montant de cette rente est réévalué au 1er juillet de chaque année en fonction de l'évolution de l'indice majoré 100 constatée au cours des 12 derniers mois et selon le taux défini par la mutuelle.
À partir du 1er janvier 2026, votre collectivité employeur participera au financement de vos cotisation à une complémentaire santé couvrant les frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident.
La participation de votre collectivité couvre au minimum les garanties suivantes :
Intégralité du ticket modérateur sur les consultations, actes et prestations remboursables par l'assurance maladie, sous réserve de certaines exceptions
Frais dentaires (prothèses et orthodontie) à hauteur de 125 % du tarif conventionnel
Frais d'optique de manière forfaitaire par période de 2 ans (annuellement pour les enfants ou en cas d'évolution de la vue) avec un minimum de prise en charge fixé à 100 € pour une correction simple, 150 € (voire 200 €) pour une correction complexe
Le montant de cette participation est au minimum de 15 € par mois.
Votre collectivité peut accorder une participation supérieure.
À partir du 1er janvier 2026, vous pourrez bénéficier d'une prise en charge partielle de vos cotisations à une complémentaire santé (mutuelle) par votre établissement employeur.
Vous pourrez bénéficier de cette prise en charge partielle que vous soyez fonctionnaire ou contractuel.
La prise en charge partielle des cotisations vise les mutuelles destinée à couvrir les frais médicaux occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident.
Votre établissement pourra aussi prendre en charge partiellement les cotisations aux mutuelles destinées à couvrir les risques d'incapacité de travail, d'invalidité, d'inaptitude ou de décès.
La mutuelle pourra être une mutuelle à laquelle vous avez individuellement souscrit.
Dans ce cas, votre établissement employeur précisera quels sont les organismes de complémentaire santé ouvrant droit à une prise en charge partielle de vos cotisations.
Un accord collectif pourra aussi prévoir la souscription par votre établissement employeur d'un contrat collectif destiné à couvrir tout ou partie des risques maternité, maladie, accident, incapacité de travail, invalidité, inaptitude, décès.
Cet accord collectif pourra prévoir votre souscription obligatoire à tout ou partie des garanties que ce contrat collectif comporte.